France/ À Saint-Broladre, un nouveau départ pour le comité de jumelage

Publié le 25/03/2024 | La rédaction

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Pour donner un coup de jeune au jumelage avec Neuenkirchen, la municipalité de Saint-Broladre (Ille-et-Vilaine) a décidé de payer le voyage des élèves. Vendredi 22 mars 2024 aura lieu l’assemblée générale du comité de jumelage.

Vendredi, à 19 h, se tiendra à Saint-Broladre une assemblée générale exceptionnelle du comité de jumelage. Tous les habitants y sont invités et pourront en savoir plus sur le projet de voyage en Allemagne, qui aura lieu le week-end de la Pentecôte. Ils pourront s’y inscrire directement.

« Pour rappel, de 1989 à 2019, les habitants de Saint-Broladre ont pu rencontrer leurs amis de Neuenkirchen tous les ans, lors d’un week-end festif, tantôt en France, tantôt en Allemagne », rappelle le maire, Jean-François Gobichon. Des rencontres émaillés de jeux, de visites touristiques, de compétitions amicales de football, ou encore de palet. « Des moments qui ont favorisé de très forts liens d’amitié. Malheureusement, le Covid a ébranlé cette tradition et aucun voyage n’a pu avoir lieu durant trois ans », regrette l’édile.

Le voyage des élèves pris en charge

Une quarantaine d’Allemands étaient venus à la Pentecôte, l’année dernière, pour l’inauguration du boulodrome solaire et du stade Maurice-Fantou, où s’est déroulé un repas gaulois mémorable.

Cette année, c’est aux Broladriens de se déplacer, pour la 1re fois depuis quatre ans, et d’aller faire la fête à Neuenkirchen. Le départ est fixé le jeudi 16 mai, à 20 h, le retour le mardi 21 mai, vers 10 h.

« Pour inciter les plus jeunes à venir découvrir nos voisins européens et attirer de nouvelles familles dans le jumelage, la municipalité a décidé de payer le voyage des élèves de l’école de Saint-Broladre. À cet effet, la classe de CM1-CM2 a d’ailleurs échangé des lettres et des vidéos avec les élèves de leur âge de Neuenkirchen » , confirme le maire.

Passer la barrière de la langue

Patricia Gobichon, la vice-présidente du comité de jumelage, professeure d’anglais, tient à rassurer les personnes qui ne se sentiraient pas capables de participer à un échange international, à cause de la fameuse barrière de la langue.

Source:    www.ouest-france.fr/


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